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Madame Edwarda - Le mort - Histoire de l'oeil.
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Détails sur le produit
Poche: 192 pages
Editeur : 10 X 18 (7 octobre 2004)
Collection : Domaine Français
Langue : Anglais
ISBN-10: 226403579X
ISBN-13: 978-2264035790
Dimensions du produit:
15 x 21 x 2,2 cm
Moyenne des commentaires client :
3.2 étoiles sur 5
9 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
36.330 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Ce sont les deux premières nouvelles que j'ai préféré - Edwarda et Le Mort. Les récits exhalent un parfum morbide où l'érotisme est déconsidéré de tout substrat de plaisir pour se révéler comme mécanique du corps ; mécanique qui s'impose à l'esprit faisant de l'être sous l'emprise de l'érotisme un animal coupable.Histoire de l'oeil se révèle par contre malsain à un point où tout n'est qu'urine et foutre. Le sentiment de malaise est bien réel. Mais chez Bataille, aucune part de jouissance malsaine comme chez Sade. Le romancier est témoin de l'horreur et ne semble pas s'en délecter.
Grande oeuvre, dans un genre évidemment singulier, d'un écrivain essentiel. La réunion des trois titres en un volume, textes brefs mais intenses autant que profonds dans le style, l'élan de la narration, est heureuse et permet d'avoir un aperçu intéressant de la démarche de Georges Bataille.
malgré quelques fulgurances, les transgressions modernes ont quand même passablement fait vieillir cette littérature. la meilleure des nouvelles est sans conteste lOœil.
L'oeuvre n'est ni malsaine, ni érotique et encore moins superficielle. L'oeuvre n'est ni malsaine comme cette société feutrée dans laquelle on vit, ni érotique comme cette société qui pose l'apparence et l'attrait sexuel dans un principe vide de sens, ni superficielle comme cette société capable d'être séduite par des Hommes qui ne n'écoutent que ce qu'ils ont envie d'entendre.L'oeuvre est dérangeante car elle bouscule les consciences, elle est libre des préjugés. Ici les culs et le foutre qui les recouvrent ne sont que les transpositions de l'absurdité d'une existence, aseptisée, injuste, consensuelle et finalement, insatisfaisante.Il s'agit d'atteindre le sublime, ce qui échappe à tous, ce que l'on perçoit sans jamais atteindre pour n'avoir ni le courage, ni la force de pouvoir, ne serait-ce qu'un instant, y prétendre.L'oeuvre est un jugement analytique de l'être, une mise en abîme de l'absurde : la vie est absurde, et pour y donner du sens, y trouver un sens, il est nécessaire d'accepter ce que nous sommes avant de vouloir y prétendre.L'homme est bien souvent une abjection, et c'est l'abjection qui est souvent couronnée : ce qui est excessif attire, ce qui est excessif meurt. L'équilibre est une recherche et pour le trouver il faut affronter et accepter l'abîme de soi.N'oublions pas non plus, le style de l'auteur. Le style est une oeuvre à lui seul.
Ce commentaire concerne Madame Edwarda, récit publié sous le pseudonyme de Pierre Angélique aux Editions du Solitaire en 1941; réédition augmentée d'une Préface de l'auteur chez Jean-Jacques Pauvert en 1956.En proie à une "angoisse sale et grisâtre", le narrateur, tourmenté par les limites de la condition humaine, erre au hasard des rues de Paris. Près de la porte Saint-Denis, il rencontre une prostituée, Madame Edwarda, avec qui il fait l'amour dans une chambre tapissée de glaces (I). Tous deux sortent ensuite au bordel -Madame Edwarda nue sous son domino et capuchon- et s'aventurent dans les rues du quartier (II). Mais Edwarda s'évanouit sur le trottoir; le narrateur la porte à un taxi qui les conduit jusqu'aux halles. Madame Edwarda fait arrêter la voiture, ôte son capuchon, descend et invite le chauffeur à monter dans la voiture. Madame Edwarda et le chauffeur font l'amour tandis que le narrateur les regarde (III).Long seulement de dix pages, Madame Edwarda est aussi l'un des récits les plus denses de l'oeuvre romanesque de Bataille, ralliant toutes les énergies et les portant à leur haut point d'intensité pour...rien: "Ce que le mysticisme n'a pu dire, l'érotisme le dit : Dieu n'est rien, s'il n'est pas dépassement de Dieu dans tous les sens; dans le sens de l'être vulgaire, dans celui de l'horreur et de l'impureté ; à la fin, dans le sens de rien", écrit l'auteur dans sa Préface. Hors de l'Eglise, que reste-t-il à Dieu, sinon le bordel? La débauche, comme la mystique, ne le met-elle pas à nu? C'est pourquoi Bataille, quittant les églises de l'Abbé C. ou de L'Histoire de l'oeil, s'est jeté dans les bordels. C'est dans un bordel que le narrateur trouve la plus tourmentée des images de Dieu. C'est encore là qu'il va chercher un rite -d'une "hallucinante solennité"- grâce auquel il ne peut plus ignorer que Dieu le condamne. La nature "souillée" d'Edwarda la rend toute-puissante, elle qui réunit les deux aspects du divin, l'élévation et la bassesse infinies. Le narrateur s'acharne à percer le secret de ce Dieu-là : "Je dis à Madame Edwarda qu'elle était Dieu." Et parce qu'elle est Dieu, elle a le droit d'enjoindre qu'on regarde ses "guenilles" qui sont l'équivalent des plaies du Christ. Madame Edwarda est immonde et désirable, elle est faite de la matière brute des mythe, entre "Dieu-prostituée" et "Grande Mère"; elle est la tentative de remplacer l'incarnation chrétienne par celle de la "prostituée divine", l'union de l'éternel féminin et des principes "du bas".Le narrateur, face à ce nouveau Dieu, personnage de farce tragique portant masque et domino, n'est plus celui qui a besoin de la mort (comme dans L'Histoire de l'oeil) pour désirer; il est cette fois-ci lui-même la mort qui guette sur Edwarda les signes, les signes du plaisir inaccessible à Dieu : "De son visage, à ce moment-là , je sus qu'il revenait de l'impossible." Ce vertige mystique paralyse la narration, et l'écrivain avoue la réticence qu'il éprouve à l'idée de continuer son histoire: "Je serrai Edwarda dans mes bras, elle me sourit : aussitôt, transi, je ressentis en moi un nouveau choc, une sorte de silence tomba sur moi de haut et me glaça. J'étaie élevé dans un vol d'anges qui n'avaient ni queue ni têtes, faits de glissements d'ailes." Le créateur-narrateur se retrouve seul avec des chimères de sa propre fabrication : "Le plus étrange était le silence où Madame Edwarda demeurait enfermée : de sa souffrance, il n'était plus de communication possible et je m'absorbai dans cette absence d'issue - dans cette nuit du coeur qui n'était ni moins déserte, ni moins hostile que le ciel vide." Le mysticisme obscène d'Edwarda semble gagner la narration elle-même : lorsque le narrateur "monte" avec Edwarda, l'expérience érotique est ineffable et s'exprime, dans le texte, par de longues lignes pointillées; lorsqu'il est témoin de l'acte sexuel entre elle et le chauffeur de taxi, il peut en rendre compte par des paroles, mais le protagoniste-narrateur ne figure plus alors que comme témoin de cet épisode. Le désir, ici, se met totalement en jeu ; vivre l'excès, c'est paradoxalement désirer jusqu'au renoncement. Mais "le plaisir serait méprisable s'il n'était ce dépassement atterrant".
Je l'ai acheté parce qu'on m'avait parlé de l'histoire de l'oeil, une nouvelle publiée anonymement par l'auteur sencée choquer le lecteur du fait de son caractere violent et pornographique. Je l'ai trouvée moyenne, pour ne pas dire ennuyeuse. Je trouve que les livres de Martine (oui, les livres pour enfants) sont bien plus sordides et pervers. En bref je vous le conseille si vous etes une sainte n'y touche, ou si vous voulez vous faire une opinion afin de salir la mémoir de georges bataille
livre considérablement surchargé au bic et stabilo et donc invendable, mais remboursement effectué. Sur le fond, la poésie de Bataille y reste... surchargée, justement !
Georges Bataille est un auteur torturé, livrant ses fantasmes de manière crue et spontanée, tout ceci, semble-t-il lié à son histoire personnelle,
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